SCANNER
ARTHROSCANNER
L’arthroscanner est une étape de l’arthrographie, un examen qui consiste à injecter à l’aide d’une aiguille un produit de contraste iodé radio-opaque à l’intérieur de l’articulation à étudier.
Le but de l’examen est d’étudier les ligaments, ménisques et cartilages qui sont non-accessibles aux méthodes diagnostiques traditionnelles et qui sont ainsi mis en évidence par le produit iodé. Il permet par conséquent de visualiser des déchirures de tendons ou de ligaments.
Les articulations les plus concernées sont le genou, l’épaule, la hanche et parfois la cheville, le coude ou le poignet.
Le plus souvent, l’arthrographie est complétée par un scanner (arthroscanner) ou par une IRM (arthro-IRM). Il faut compter environ 5 minutes pour l’injection, 5 minutes pour le scanner ou environ 20 minutes pour l’IRM.
L’arthroscanner est pratiqué pour étudier les sources de douleurs articulaires afin d’intervenir si besoin pour soigner l’articulation et prévenir une dégradation potentielle. L’examen est conseillé en cas de douleurs persistantes et inexpliquées, raideurs et gonflements ou après un choc important.
L’examen se fait en position allongée. La peau est d’abord désinfectée. L’injection du produit de contraste iodé se fait par un radiologue expérimenté, dans une salle de radiologie, sous conditions d’asepsie.
L’injection du liquide dans l’articulation provoque tout au plus que des douleurs modérées.
Après avoir retiré l’aiguille, des clichés radiographiques seront réalisés suivis immédiatement par un scanner. Ces clichés et coupes scanographiques permettent ensuite d’étudier le contenu de l’articulation.
Certaines précautions sont à prendre, notamment dans le cas d’une éventuelle grossesse et il est conseillé d’en informer le radiologue. En général, les effets secondaires ou réactions allergiques sont rarissimes et le risque d’infection est faible.
Les articulations les plus concernées sont le genou, l’épaule, la hanche et parfois la cheville, le coude ou le poignet.
Le plus souvent, l’arthrographie est complétée par un scanner (arthroscanner) ou par une IRM (arthro-IRM). Il faut compter environ 5 minutes pour l’injection, 5 minutes pour le scanner ou environ 20 minutes pour l’IRM.
L’arthroscanner est pratiqué pour étudier les sources de douleurs articulaires afin d’intervenir si besoin pour soigner l’articulation et prévenir une dégradation potentielle. L’examen est conseillé en cas de douleurs persistantes et inexpliquées, raideurs et gonflements ou après un choc important.
L’examen se fait en position allongée. La peau est d’abord désinfectée. L’injection du produit de contraste iodé se fait par un radiologue expérimenté, dans une salle de radiologie, sous conditions d’asepsie.
L’injection du liquide dans l’articulation provoque tout au plus que des douleurs modérées.
Après avoir retiré l’aiguille, des clichés radiographiques seront réalisés suivis immédiatement par un scanner. Ces clichés et coupes scanographiques permettent ensuite d’étudier le contenu de l’articulation.
Certaines précautions sont à prendre, notamment dans le cas d’une éventuelle grossesse et il est conseillé d’en informer le radiologue. En général, les effets secondaires ou réactions allergiques sont rarissimes et le risque d’infection est faible.